Mirko Beljanski – Chercheur “maudit”


Mirko Beljanski – Chercheur “maudit”

 

3beljanski3.jpg  Les Chercheurs “maudits” : Mirko Beljanski

 

 

Docteur ès Sciences


Mirko Beljanski est né le 27 mars 1923 à Turija en Yougoslavie. Il immigre en France en 1945.
Il devient Docteur ès sciences d’état de l’Université de Paris.
A partir de 1948 (et jusqu’en 1978), il poursuit des recherches de biologie moléculaire à l’Institut Pasteur de Paris.


A partir de 1949 sont publiées ses premières publications scientifiques, dont quatre sont aussi co-signées par François Gros.
En 1951, Beljanski entre au CNRS où il sera successivement Attaché, Maître et enfin Directeur de Recherches


Il épouse Monique Lucas, fille du professeur Lucas. Elle passe un diplôme de technicienne de laboratoire pour travailler avec son mari.
De 1956 à 1958, il travaille à l’Université de New York comme chercheur associé du professeur Severo Ochoa (Prix Nobel de médecine en 1959 pour ses découvertes sur la synthèse des acides ribonucléique et désoxyribonucléique).


– En 1957, Beljanski démontre que des ARN synthétiques constitués d’un ou de plusieurs types de nucléotides ont un effet dans la fixation des acides aminés.


– En 1960, l’Académie des sciences lui décerne le prix Charles-Léopold Mayer pour sa découverte d’un processus peptidique où agit un ARN.


– En 1962, Howard Temin prouvent qu’il peut y avoir transcriptase inverse chez des virus infectieux et tumorigènes de poulet, ce qui n’est accepté qu’en 1970. David Baltimore prouve la même chose chez des souris. Ils obtiennent en 1974 le prix Nobel pour cette découverte.


– En 1965, Beljanski est le premier à démontrer qu’un ARN extrait d’un virus de plante (TYMV) forme aussi un complexe avec les acides aminés.


– Par décret du 17 mai 1966, Mirko Beljanski acquiert la nationalité française


– En 1970, Jacques Monod devient directeur de l’Institut Pasteur. Il publie son livre “Le hasard et la nécessité” où, en accord avec ce qu’avait affirmé Francis Crick en 1957, il écrit dans le sous-chapitre sur l’”irréversibilité de la traduction”: “Il faut ajouter enfin, et ce point est d’une très grande importance, que le mécanisme de la traduction est strictement irréversible. Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable, que de l’”information” soit jamais transférée dans le sens inverse, c’est-à-dire de protéine à ADN. Cette notion repose sur un ensemble d’observations si complètes et si sûres, aujourd’hui, qu’on doit la considérer comme l’un des principes fondamentaux de la biologie moderne.”


– En 1972, M. Beljanski et P. Manigault publient leur découverte de la transcriptase inverse de l’ADN chez des bactéries


– Au sixième symposium international de biologie moléculaire à l’université John Hopkins de Baltimore, les 8 et 9 juin 1972, Mirko et P. Manigault font une communication sur leur découverte de la transcriptase inverse de l’ADN chez des bactéries. Howard Temin les y félicite de leur confirmation e la transcriptase inverse.
Durant des années, le groupe de recherche de Beljanski reçoit 3000 F par an (équipement et fonctionnement) de la part du CNRS


– Le 26 février 1974, Beljanski demande des moyens supplémentaires en personnel et en place, sur la base des résultats et des idées qu’il a obtenus sur le mécanisme du cancer des plantes, afin d’aborder le problème des tumeurs et du cancer des mammifères, de la lutte contre les viroïdes et les virus, sous un angle nouveau, dans la perspective d’aboutir directement à la réalisation de moyens antiviraux, comme le montrent ses essais préliminaires. Le Dr Chambon, puis le 22 mars Jacques Monod, refusent en prétextant que ce “projet de recherche et de développement” “n’entre pas dans les programmes de la recherche appliquée”.


– Le 16 décembre 1974, le Pr Pierre Lépine, chef du service des virus à l’Institut Pasteur de Paris, annonce à l’Académie des Sciences la découverte par l’équipe Beljanski de la possibilité d’utiliser un brin d’ARN afin d’empêcher la réplication d’un ADN viral (C.R. Acad. Sci., 1975, 280, pp. 783-786, série D).


– En 1975-1976, Beljanski met au point et brevette dans 17 pays l’oncotest, fondé sur la comparaison de la réplication in vitro de l’ADN des tissus sains et de l’ADN des tissus cancéreux, ce qui déterminer le potentiel cancérogène.


– Grâce à l’oncotest, il découvre un extrait de plante qui se fixe uniquement sur les tissus cancéreux (à l’ADN déstabilisé) et inhibe la réplication de la cellule, ce qui empêche le développement du cancer. [E:35] Chez des souris ayant diverses cellules tumorales, il constate un taux de 70 à 80 % de guérison.


– Le 11 janvier 1978, Jean-Paul Aubert, chef du département de biochimie et génétique microbienne, écrit à Beljanski qu’il lui est interdit d’avoir accès à divers services offerts aux chercheurs de l’Institut Pasteur.


– En mars 1978, Monique Beljanski (alors aide-chimiste et bactériologiste au CNRS), écœurée par la façon dont son mari est traité, a une altercation avec Michel Goldberg, conseiller scientifique de l’Institut Pasteur. Le lendemain, l’accès à l’Institut Pasteur lui est interdit et on enjoint Mirko Beljanski de quitter son laboratoire d’ici la fin du mois.


– De 1978 à sa retraite professionnelle en 1988, il travaille à la faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry, qu’il a rejoint avec une équipe de quatre personnes, dont son épouse.


– Le 5 juin 1978 à l’Académie des Sciences, et le lendemain à l’Académie de Médecine, le Pr Pierre Lépine, membre de ces deux académies, annonce l’isolement de fragments d’ARN de bactérie qui peuvent catalyser rapidement, sans danger et de façon durable un taux normal de globules blancs et de plaquettes dans le sang lors d’un traitement antimitotique qui empêche la multiplication des cellules: il s’agit des Remonte-Leucocytes Beljanski (RLB plus tard renommé Real Build); le Pr Lépine précisait que ce travail était appelé à avoir un retentissement qui dépassera de très loin les bornes de la biochimie.


– En 1980, il découvre qu’un produit, qu’il nomme PB-100 ou Flavopéréine, issu d’une plante d’Amérique du Sud, le Pao pereira, a un pouvoir anticancéreux.


– En 1981, on confie aux soins de Beljanski une femme dont les diagnostics ne laissent aucune chance de survie à cause de ses métastases. Avec des produits Beljanski et de très faibles doses de rayons, elle guérit.


– A partir de la fin de 1986, Beljanski poursuit ses travaux avec une petite équipe, en tant que directeur scientifique du Centre de Recherche Biologique (CERBIOL). Il est président du Centre d’Innovations, de Recherches et d’Informations Scientifiques (CIRIS) à Saint-Prim dans l’Isère.


– Le 3 février 1986, le policier Gérard Weidlich, contaminé lors d’un bouche-à-bouche avec un noyé barbu qui vomissait du sang, est officiellement détecté séropositif VIH, alors qu’il développe déjà certaines maladies opportunistes très inquiétantes. Son médecin généraliste n’ayant aucun traitement à lui proposer mais ayant lu un article sur les découvertes de Beljanski, il lui conseille de rencontrer Beljanski. Celui-ci accepte de l’aider par l’intermédiaire de son médecin traitant. Weidlich, le premier sidéen à être traité par des produits Beljanski, n’a jamais utilisé d’autre traitement (AZT, trithérapie, etc.), n’a eu aucun effet secondaire et n’a plus eu de maladies opportunistes.


– En 1987, Beljanski publie dans Méd. Sci. Res. p. 529-530 son contrôle des vaccins de l’hépatite B, qui contiennent des virus, les uns (TdT) pouvant synthétiser des segments aberrants d’ADN, les autres (ribonucléases) pouvant dégrader les ARN des cellules du vacciné.


– En 1989, à la demande du Dr Maurice Stroun de l’Université de Genève, le professeur D. Jachertz (ancien directeur de l’Institut d’Hygiène et de microbiologie de la Faculté de Médecine de l’Université de Berne, réalise une expertise en Suisse et conclut que “le virus HIV est détruit à 99 % par le PB 100.


– En 1989, des articles sont publiés aux USA sur la transcriptase inverse chez les bactéries (observée par S. Inouye et Maas), par Harold E. Varmus, Howard M. Temin, B. C. Lampson, sans mentionner l’antériorité de la découverte par Beljanski. [E:28] Le 21 juin, Beljanski envoie une demande de rectification à Temin. Le 5 juillet, Temin, lui répond en deux lignes. Le 16 juillet, Beljanski lui signale qu’il en informe le Congrès des USA et le Bureau de l’Éthique scientfique aux USA. Le 7 décembre 1989, Temin publie dans Nature, volume 342, p. 624 une “Rétrocitation”


– En 1989, Monique et Mirko Beljanski publient leur livre “La santé confisquée”.


– Le 12 octobre 1989, le ministre de la Santé décide de saisir le ministre de la Justice afin d’engager des poursuites pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie contre Mirko Beljanski qui avait affirmé dans Paris-Match et sur TF1 qu’il avait un traitement efficace contre le sida. Selon le ministère de la Santé, l’analyse des vingt-sept malades traités plus de trois mois n’a pas démontré son efficacité. Le parti politique Les Verts dénoncent dans un communiqué une censure sur les travaux de Beljanski et réclament une expérimentation officielle.


– En 1989-1990 a lieu un à l’hôpital Lapeyronie de Montpellier un essai clinique du PB100 sur 10 patients séropositifs VIH. Les résultats probants sont publiés dans la revue scientifique allemande Deutsche Zeitschrift für Onkologie du 26 juin 1994, et détaillés dans le Quotidien du Médecin nº 5558 du 24 janvier 1995.


– En 1990, le Pr Jean-Claude Chermann, de l’INSERM à Marseille, qui a fait une expérience sur le produit “H”, en fait du PB 100, écrit dans son rapport que “Le virus du SIDA est empêché d’infecter les lymphocytes avec 50/60 microgramme/ml de ce produit.”


– En 1992 dans son rapport, le professeur Andrieu, de l’hôpital Laennec, affirme qu’il y a une inhibition totale de la multiplication du VIH 1.


– Le 13 février 1993, le Dr Chantal Damais (Inserm U-313, Pitié-Salpêtrière) conclut qu’il y a suppression de la sur-sécrétion pathologique d’interleukine 6 à partir de monocytes de personnes séropositives sous l’action de Pao pereira.


– En 1993, le ministère de la Santé, dirigé par Claude Évin (qui en 1990 a décoré Michel Garetta de la Légion d’honneur), qui a de “mauvais renseignements sur Beljanski” émanant de François Gros, dépose une plainte pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie au tribunal de Saint-Étienne.
Le 10 décembre 1993, le directeur général de la Santé Jean-François Girard demande à l’ANRS e procéder à l’analyse du PB-100 afin de déterminer s’il “est doué d’une activité antivirale contre les VIH”: une expertise virologique est faite par trois laboratoires (celui du Pr Kirn à Strasbourg, celui du Pr Françoise Brun-Vézinet, à l’hôpital Claude Bernard de Paris, et celui du Pr Jean-Marie Huraux, à l’hôpital de la Pitié à Paris); une expertise biochimique est confiée au laboratoire du Pr Henri Buc, à l’Institut Pasteur de Paris, afin de déterminer si le PB-100 a une activité inhibitrice de la transcriptase reverse du VIH 1; il est demandé aux Prs Chermann et Andrieu, et Dr Damais de préciser dans un rapport écrit la signification qu’ils attribuent à leurs propres expériences.


– Le 10 mars 1994, lors du procès de Saint-Étienne à la suite de la plainte de l’Ordre des Médecins, le représentant du ministère public dit que “Mirko Beljanski est un biologiste réputé. Personne ne conteste la valeur de ses travaux scientifiques. […] Le représentant du ministère public reconnaît volontiers que le biologiste n’est pas un charlatan… L’État aurait dû vous aider financièrement”. [A:104] Beljanski est condamné à verser un franc symbolique et à payer une amende de 20.000 F.


– La semaine suivante, la Direction de la pharmacie dépose une nouvelle plainte au ministère de la Santé.


– Le 17 mars 1994, une cinquantaine de gendarmes agissant sur commission rogatoire du juge d’instruction de Créteil Michèle Ganascia, perquisitionnent les locaux de Saint-Prim où travaille Mirko Beljanski. Mirko Beljanski, Alain Boquet, directeur d’ISA qui commercialise les produits Beljanski, et Pierre Silvestri, ex-président du conseil d’administration de l’association COBRA, sont mises en examen, en particulier pour exercice illégal de la pharmacie.


– L’été 1994, une expertise à l’Institut de Recherche des Armées Walter Reed à Rockville (USA), par le Dr Douglas L. Mayers démontre que le PB-100 inhibe in vitro des souches de VIH qu’elles soient sensibles ou fortement résistantes à l’AZT.


– Le 24 juin 1994, le rapport de l’Agence Nationale de Recherche sur le Sida (ANRS), qui n’a pas été fait en double ni en simple insu, est publié par les Prs Jean-François Girard, directeur général de la Santé, et Jean-Paul Lévy, directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS).


– Le 6 juillet 1995, une demande d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) est officiellement engagée auprès de l’Agence du Médicament, moyennant le versement d’une taxe de 100.000 francs dont le chèque a été encaissé.


– En 1996, selon un rapport de l’Institut Pasteur de Lille, le PB 100 n’a aucun effet clastogène (cassures chromosomiques) sur les érythrocytes polychromatiques de la moelle osseuse de souris, voire il stimule des cellules sanguines (ce qui contredit les conclusions de l’ANRS), alors que le cyclophosphamide (Endoxan) en induit un nombre très important; le 21 février 1997, lors de l’émission télévisée de Julien Courbet “Sans aucun doute” sur TF1, Bernard Kouchner s’émeut de la détresse des malades privés des produits Beljanski. Il prend l’engagement personnel de débloquer la situation auprès des autorités médicales. Devenu secrétaire d’État chargé de la Santé partir du 4 juin 1997, qu’aura-t-il fait?


– En 1996, la juge d’instruction Anne Tarelli reçoit une lettre anonyme intitulée “Enquête et mise au point sur une secte”, qui assimile Mirko Beljanski à un gourou.


– Le 14 août 1996, un inspecteur du fisc écrit au Trésorier Payeur Général de prendre des mesures conservatoires concernant l’association CIRIS qui a été assimilée d’autorité à une firme et qui a été taxée d’énormes impôts pour la mettre en cessation de paiement, l’obliger à vendre le domaine de Saint-Prim.
– Depuis juillet 1996, des écoutes téléphoniques sont effectuées.


– Le mercredi 9 octobre, suite à des dénonciations anonymes selon lesquelles Mirko Beljanski détiendrait du plutonium, et alors que le gramme de synthèse de PB-100 est prêt pour l’AMM, une soixantaine de perquisitions et saisies simultanées sont effectuées en France, dont 200 gendarmes dans le petit village de Saint-Prim, avec la participation du GIGN. Les produits des malades sont confisqués et Mirko Beljanski est amené à Paris les menottes aux poignets. Lui et son épouse sont privés de passeport, interdits de publication.


– Dans la conclusion du procès verbal de synthèse en date du 7 août 1997 rédigée par l’OPJ Kentzinger, chargé de la commission rogatoire nº 215/11/1994, on peut lire: “Il serait souhaitable que les dossiers médicaux saisis ainsi que les documents relatifs à ces essais, les courriers des malades, les fichiers (adhérents – malades) soient détruits.”


– Le 13 août 1997, le CIRIS demande au Premier Ministre Lionel Jospin l’aide et le soutien de l’État, par une subvention ou l’octroi de l’exonération des impôts exigés; il n’y a pas de réponse.


– Stressé par la persécution qu’il subit, Mirko Beljanski développe une leucémie myéloïde aiguë de stade 3, un type de cancer dont on ne guérit pas à son âge. Il s’en remet deux fois grâce à la synergie de la chimiothérapie et de ses produits mais il meurt de la troisième rechute, le 27 octobre 1998, après avoir refusé tout soin et de s’alimenter, ne pouvant plus mener librement sa vie de scienfique. Il a totalisé 133 publications scientifiques.


– Les magistrats de la 3ème Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Paris, ont rendu le juin 1999, cinq arrêts qui se réfèrent ainsi à un arrêté ministériel irréel: “Ces produits Beljanski avaient été interdits par arrêté du Ministère de la Santé du 5 octobre”. Dans un courrier du 20 juillet 1999, les services des journaux officiels confirment au CIRIS que cet arrêté n’existe pas réellement et l’invitent pour tout renseignement à contacter le Ministère de l’Emploi et de la Solidarité.


– Du 19 au 23 mars 2001, au tribunal de Créteil se déroule un procès


– Le 23 mai 2002, Monique Beljanski est condamnée à dix-huit mois de prison avec sursis, 200.000 F d’amende pour “exercice illégal de la pharmacie”, et d’une mise à l’épreuve de cinq ans durant lesquels elle ne pourra plus donner de conférence sur les produits Beljanski. Gérard Weidlich est condamné à douze mois de prison avec sursis et à 200.000 F d’amende. Alain Boquet est condamné à douze mois de prison avec sursis et 100.000 F d’amende.


– En février 2002, la Cour Européenne des Droits de l’Homme condamne la France pour ne pas avoir respecté un “délai raisonnable” pour juger Mirko Beljanski, “compte tenu de son état de santé, ainsi que de l’enjeu important du procès qui aurait dû lui permettre de faire reconnaître la valeur scientifique de ses travaux“.


– Les audiences du procès à la cour d’appel appel étaient planifiés tous les mercredis matins de mars 2002 (les 6, 13, 20 et 27); à la demande des avocats qui estiment que c’est une façon de contrecarrer la défense, devant la décision de la cour européenne de justice, le procureur devant la cour d’appel de Paris annule ce calendrier.


– Le 27 septembre 2002, le jugement du tribunal d’appel annule toutes les poursuites pour tromperie et les peines de prison, ne retenant que des condamnations pour publicité.

 

source du texte: Beljanski.com

 

Site officiel de la fondation Beljanski dont sa femme (Monique Beljanski) est la présidente. Sa fille sylvie, en est la vice-présidente et est aussi devenue présidente de la société Natural Source LTD qui commercialise les compléments Beljanski « officiels ».

http://www.beljanski.com/france/accueil/sylvie_bio.html

http://www.natural-source.com/

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Note importante

Concernant le Pau-Pereira ou Pao-Pereira:

il existe un risque très élevé de confusion botanique entre différentes espèces de plantes appelées sans distinction « Pau pereira » ou « Pao pereira » (dénomination portugaise signifiant « bois de poirier »);

– cette dénomination couvre en effet, sans distinction, plusieurs types de plantes : une légumineuse (Platicyamus regnelii) et trois espèces d’Apocynacées ( Geissospermum vellosii, Geissospermum laeve, Aspidosperma subincanum et Aspidosperma parvifolium);

– or certaines des plantes précitées contiennent des alcaloïdes qui, en s’intercalant au niveau de l’ADN des cellules, peuvent avoir des effets tératogènes ou mutagènes;

– il s’ensuit que l’utilisation de « Pau pereira » présente un risque pour les patients, en particulier pour les femmes en âge de procréer;
– en outre, il n’existe pas d’extraits suffisamment caractérisés de plantes dénommées « Pau pereira », en ce qui concerne la préparation et la composition;

– vu le risque de confusion entre les différentes plantes précitées, il est actuellement impossible de garantir la qualité et la sécurité des matières premières et préparations contenant des extraits des plantes appelées « Pau pereira »,

Arrête :

Article 1er. Pour l’application du présent arrêté, on entend par « Pau pereira », ou « Pao pereira », les plantes connues sous les dénominations suivantes, ainsi que leurs synonymes :

– Platicyamus regnelii;
– Geissospermum vellosii;
– Geissospermum laeve;
– Aspidosperma subincanum;
– Aspidosperma parvifolium.

 

Art. 2. La délivrance de « Pau pereira » sous forme de matière première ou de préparation magistrale ou officinale en contenant est suspendue pour une période de deux ans.

20 JUILLET 2007,Belgique,

AGENCE FEDERALE DES MEDICAMENTS ET DES PRODUITS DE SANTE

Arrêté ministériel relatif à la suspension de la délivrance des matières premières et préparations contenant du « Pau pereira »

Source

 

 

6 réflexions sur “Mirko Beljanski – Chercheur “maudit”

  1. L’efficacité des produits Beljanski a été reconnue dans différents essais cliniques réalisés aux USA (Intern.J.Oncol.29:1065 (2006) ; J. Soc.Integrat. Oncol. 7(2) : 59 (2009) ; BMC Cancer 10 : 565 (2010) ) pour ne citer que les principaux. Voir pour plus de détails http://www.Natural-Source.com (qui détient à New York l’exclusivité des produits Beljanski qui ont fait l’objet des essais cliniques précités.
    Important : les ARN-fragments ne contiennent aucune bactérie, et la souche E.coli K12 qui a au départ été utilisée est connue pour son innocuité.A noter que BMC indique que la levure ne peut remplacer la souche K12.

  2. absolument ignare
    je ne suis pas surpris du tout que ca les derange ,ils ont une peur bleue de la vérité et que quelqu,un viennet jouer dans leurs plattes bandes
    de petits minable

  3. Je découvre votre blog avec beaucoup d’intérêt!

    Je viens de lire le blog de Sylvie Beljanski ( http://www.beljanskiblog.com )
    Savez-vous que la Cour d’Appel a rendu cet automne un jugement en faveur de la veuve de Mirko Beljanski et rendant justice à la famille Beljanski après 15 ans de procédure!

    Et Félicitation pour votre blog, c’est une mine d’or d’information!

  4. Les authorités de Bruxelles n’ont pas compris (ou pas voulu comprendre)que l’intercallation du Pao dans les ADN n’est valable uniquement que pour les ADN des cellules cancéreuses. Jamais les ADN descellules saines.C’est ce qui permet la spécificité d’action du Pao (bien préparé). Ainsi les spécialistes de Bruxelles n’ont rien compris!

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